Les aînés du Québec sont de plus en plus vulnérables à la précarité, indique l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) dans une nouvelle note publiée mercredi.
L’IRIS est arrivé à la conclusion que les prestations universelles ne permettent pas d’atteindre un revenu viable. À titre d’exemple, à Montréal, le déficit serait de 5000 $, souligne l’Institut qui constate que près de la moitié des aînés québécois vivant seuls ont «un revenu insuffisant».